Poèmes d'inspiration libre

Sylviane HELENE a écrit:

Poème sur l'amitié

(A Aurore et Ysaline)

Elle a le nom d'une princesse de contes de fées
Mais ne sommeille pas dans les grands bras de Morphée.
Je crois qu'elle n'attend plus son beau prince charmant,
Cette Aurore – là que je connais par ses romans.

Elle a le don pour l'écriture, rêve souvent,
Nous tient suspendus à ses doigts, cœur palpitant,
Et nous ravit des aventures, tel un Orphée,
Qui en chantant nous mènerait vers le nymphée.

Celte de cœur et de prénom est Ysaline
Qui nous fait prendre les chemins en clandestine
A travers une Bretagne où l'on imagine
Une belle meute  de loups en manteline

Yseult Aymeric, Thaïs et le beau Kieran
Sont nos héros, sont nos enfants, nos chenapans,
Ils vivent tous auprès de nous  et leurs tourments
Nous font frémir et nous éveillent à chaque instant.

Moi j'ai trouvé plus qu'un roman en les lisant,
Ces deux fées-là sont plus magiques en séduisant
Tous leurs amis,tous les amoureux des romances
que Morgane, Viviane et Mélusine en puissance.

Car j'ai gagné bien plus que de belles histoires
Dans le cœur de ces deux princesses à l'écritoire
J'ai trouvé la chaleur d'une douce attention
Une amitié toute pleine d'admiration.

Sylviane a réussi à me faire pleurer avec ce poème... ne me fais pas ça trop souvent ma belle, je risque de ne pas m'en remettre!

Sylviane HELENE a écrit:

Poème sur l'amitié

(A Aurore et Ysaline)

Elle a le nom d'une princesse de contes de fées
Mais ne sommeille pas dans les grands bras de Morphée.
Je crois qu'elle n'attend plus son beau prince charmant,
Cette Aurore – là que je connais par ses romans.

Elle a le don pour l'écriture, rêve souvent,
Nous tient suspendus à ses doigts, cœur palpitant,
Et nous ravit des aventures, tel un Orphée,
Qui en chantant nous mènerait vers le nymphée.

Celte de cœur et de prénom est Ysaline
Qui nous fait prendre les chemins en clandestine
A travers une Bretagne où l'on imagine
Une belle meute  de loups en manteline

Yseult Aymeric, Thaïs et le beau Kieran
Sont nos héros, sont nos enfants, nos chenapans,
Ils vivent tous auprès de nous  et leurs tourments
Nous font frémir et nous éveillent à chaque instant.

Moi j'ai trouvé plus qu'un roman en les lisant,
Ces deux fées-là sont plus magiques en séduisant
Tous leurs amis,tous les amoureux des romances
que Morgane, Viviane et Mélusine en puissance.

Car j'ai gagné bien plus que de belles histoires
Dans le cœur de ces deux princesses à l'écritoire
J'ai trouvé la chaleur d'une douce attention
Une amitié toute pleine d'admiration.

Sylviane, merci encore ; je pleure d'émotion en te lisant

Sylviane HELENE a écrit:De rien, c'était pour vous que j'ai écrit, mes belles
Et si cela vous plaît, c'était mon essentiel...

MessageSujet: PALPITATIONS Aujourd'hui à 6:56 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message
Palpite mon cœur va vite
Avoir l'impression qu'il va s’arrêter
Le stress ne va pas l'y aider
Palpitations grosses angoisses
il va falloir hélas faire avec
Tout n'est pas toujours si simple
Avec cette vie que nous menons
Travail vitesse et précipitation
Il faut pouvoir gérer tout ça
On aimerai bien pouvoir parfois
N'ayons pas peur des maux
Soignons nous alors par les mots

Magnifique j'adhère complètement

Mots magiques sortis de votre entre
Entre eux c'est une féerie
Brillants de mille feu
La magie opère en ce lieu

Mots magiques belles illusions
Pour envolées de jolis poèmes
Resteront toujours un succès
Sans disparaître à tout jamais .

Terreur, jus de merde, 
Fiente lâche 
Bubon de haine,  
Nous te crevons
D'un seul trait 
De crayon.

Charlie rit, Charlie vit.

Jour noir que ce 7 janvier 2015...

L'horreur est sans nom...
Il n'y a pas de mot
pour l'œuvre du démon.

Si mon moi était autre,
Je ne serai pas celle que l'on croie
Je serai celle qu'on imagine pas
Ni superficielle, ni prétentieuse en moi
Je serai naturelle sans aucun artifice
Si mon moi était autre
Qui voudrai bien de moi pour me séduire
Et pour savoir qui je suis vraiment
Le secret reste entier
Mon autre, c'est bien moi.

Chance d'avoir tout gagné
Histoire portant vrai
Avoir la baccara
Ne pas s'enorgueillir
Certes un coup de bol
En profiter un maximum.

Le pourquoi du comment
Et comment on en est arrivé là
Maudite soit cette haine
Qui envahi le monde,
On ne réfléchis plus,
On fait n'importe quoi
Méchanceté gratuite
On paye pour cela
Le pourquoi du comment
Telle en est la question
Un peu de réflexion
Pour chercher la raison.

CICINDELLE

Une pincée de couleurs
Explosant sur une pierre, 
Voilà le coureur de l'air 
Trébuchant sur les hauteurs. 

Tes yeux s'ouvrent sur ce parfum, 
Ton coeur arrache des regrets: 
Déjà l'insecte boit tes larmes, 
Gravit le dome de ton sein, 
Aspire à lui tout ce venin. 

Une opale libérée de l'hiver, 
Un corps lustré qui se livre: 
Les râles, les cris, les pleurs asphixiés, 
Les plaies, les blessures rejetées.

Très joli !

Je te remercie Smoothy ! 

Très jolis vos poèmes ! Quelle inspiration !

je dirai même magnifique

La fouine s'infiltre doucement dans vos vies
Curieuse de tout savoir en cachette vous suit
Partout ou vous irez , elle vous surveillera
Comme un paparazzi avec sa caméra
Elle n'est certes pas loin peut-être même ici
La fouine vagabonde au grès de ses envies
Mais hélas vous ne saurez jamais qui elle est
virtuelle ou réelle telle est son grand secret .

Ce fut un grand plaisir
D'écrire un poème
Pour un amour naissant
Et lui dire "je t'aime"
Que votre cœur flamboie
S'exprime donc alors
De vers limpides et pur
Au creux de son oreille
Toute émue votre amour vous en remerciera
Par un tendre baiser de sa bouche vermeille
L'osmose sera là
La flamme jaillira d'un amour sans pareille .

LES MOUCHES

Un déshabillé givré 
Une goutte de sodium 
Sur le lacet de ta langue 
Entortillé 
Sur la savane : 

Des herbes en feu. 
Une heure sur l’Adamaoua. 

Un tablier d’azur 
Des mouches en sachets 
Effilées sur des licornes 
Et filant à fendre l’air 
Jusqu’à caresser mes dents : 

Kribi-ville est à deux heures. 

A se pencher par la fenêtre, 
Des rues papillotes et parlantes 
Laissent tomber et sans filet 
Des notes brunes tremblotantes 
Et pénétrées de jazz. 

Ces mouches sont des couperets, 
De grandes gazelles 
Aux pattes ouvertes 
Et qui déchirent 
Les boules de feu de l’herbe ( bleue ) 
Qui fume mes lèvres.

La Rue est large comme un Soudan, 
Et l’heure est délétère : 

Tes cheveux sont des cratères d’acacias 
Mais découvrent des poivriers 
Où se mêlent des oracles 
Saignés d’un ciel roux, 
Canne d’où roulent sucrières, toujours les mouches : 
Ces tas de braises qui ne cessent de rôtir, de gonfler et grandir 
Sous l’ondée saline de mes paupières. 

Des villages de terre 
Des rivages, un Sahel, 
Et ces mouches trapézistes 
Qui composent des boucles d’air, 
Du makossa mêlé de Bronx, d'« autopompe » 
Sur le cerceau de la comète 
De ton cœur :

Elles battent toujours ballantes fortes, 
Elles se séparent 
Ondulent 
Tombent et sèchent,
S’enfoncent dans le sable 
Pleuvent en Numidie et pleurent en Afar 
Et percent le mont Fébé de cruels bruits d’ailes : 
C’est l’orage. 

C’est une clochette d’Armorique 
Sur une musique de Kallé Pépé…

Microbe oubli moi,
J'ai pas besoin de toi
Vas t-en chercher ailleurs
Veut pas de ta chaleur

Microbe je t'en prie
N'entre pas dans mon corps
Tu vas me polluer
Je risque d'y rester .

Imagination débordante
Pour attirer tout les lecteurs
Imagination débordante
Des idées pleines en couleur
Imagination pour rêver
Et croire que ça peut arriver
Imagination conte de fées
Les filles elles vont adorer
Suspens vous tenir en haleine
Comme un film policier
Un scénario bien ficelé
Imagination débordante
La coupe est pleine il faut la vider
Ici sur cette page blanche,
Je vous en offre quelques extraits

Hihi trop drôle !!!